MODÈLE ÉCONOMIQUE

Le modèle de GRinsurance repose sur deux piliers interdépendants, l'un social et l'autre économique, qui s'enrichissent mutuellement grâce à une stratégie de rupture combinant pragmatisme & agilité dans les secteurs du dentaire et de l'assurance.

Ce modèle se démarque clairement de celui de nos concurrents sur les marchés cibles, notamment par l'absence totale de conflit d'intérêts avec nos assurés et nos partenaires assureurs.

À titre d'exemple, contrairement à nos principaux concurrents sur le marché de la prévention dentaire primaire, GRinsurance n'a aucun intérêt financier ou moral sur le marché des soins dentaires conservateurs (prévention secondaire), ni sur celui des soins prothétiques (prévention tertiaire).

Autrement dit, nos intérêts sont totalement alignés avec ceux de nos assurés et de nos partenaires assureurs en matière de prévention, dans le but d'atteindre ensemble un double objectif :

- réduire durablement les maladies bucco-dentaires et les maladies non transmissibles (MNT) associées
1, contribuant ainsi à la diminution des milliards € dépensés chaque année pour soigner ces maladies ;

- redistribuer les économies générées à travers notre activité de courtage en assurance, au bénéfice de nos assurés.

PILIER SOCIAL : PRÉVENTION DENTAIRE

En tant qu'acteur sur le marché primaire2, GRinsurance propose des solutions innovantes et exclusives en matière de prévention, à commencer par le programme CARIESTOP.

Nos solutions sont mises en œuvre par des conseiller(ère)s en santé orale
3, disponibles aussi bien en agence qu'à distance, pour encourager une meilleure santé dentaire et prévenir les problèmes avant qu'ils ne surviennent.

Au-delà de répondre à un enjeu majeur de santé publique, notre stratégie préventive contribue activement à réduire l'empreinte carbone des soins dentaires, permettant à GRinsurance d'allier respect du droit à la santé de chacun et protection de l’environnement.

En effet, selon la Fédération dentaire internationale (FDI), une bouche en bonne santé limite le besoin de consultations chez le chirurgien-dentiste, entraînant des résultats environnementaux immédiats :

- Réduction des émissions de CO2 liées aux traitements dentaires eux-mêmes ;

- Moins de trajets pour les patients, réduisant les émissions liées aux déplacements ;

- Baisse de la production des déchets générés par les soins dentaires.

Enfin, nos solutions s'inscrivent dans une démarche durable de justice sociale, en veillant à respecter les principes d'équité en matière de santé, et à garantir un accès universel à nos services.

Notre ambition : permettre au plus grand nombre de bénéficier d’une prévention dentaire de qualité, quels que soient la situation personnelle ou les moyens de chacun.

PILIER ÉCONOMIQUE : ASSURANCES

En tant qu'acteur sur le marché du courtage en assurance de proximité, GRinsurance propose des produits sélectionnés auprès de nos différents partenaires - Courtiers grossistes, Sociétés d'assurance, Mutuelles, Institutions de prévoyance - par le biais de conseiller(ère)s en assurance.

Grâce à l'expertise de nos conseiller(ère)s, disponibles aussi bien en agence qu'à distance, nous accompagnons nos assurés dans le choix de solutions adaptées à leurs besoins spécifiques : santé, prévoyance, auto, habitation ... et bien plus encore.

Notre objectif : offrir des produits alliant garanties optimales et compétitivité des prix, tout en plaçant la satisfaction de nos assurés au cœur de nos priorités.

Notre + : du sur-mesure réel avec des
conseiller(ère)s de proximité qui peuvent se déplacer chez nos assurés, notamment à la mobilité réduite, et apporter gratuitement, si besoin, un soutien administratif et social, en particulier aux personnes éligibles à la Complémentaire santé solidaire (ex CMU-C).

Pour aller plus loin sur le sujet du courtage en assurance :
Comprendre la distribution des produits d'assurance en 2min.

COMMENT OBTENONS-NOUS DES ASSURANCES MOINS CHÈRES ?

Toutes choses égales par ailleurs, GRinsurance parvient à proposer des produits d'assurance plus compétitifs que ses concurrents grâce aux économies générées par nos investissements en prévention, que nos partenaires assureurs répercutent sous forme de baisse du prix des produits distribués par GRinsurance.

En effet, chaque euro investi sur le marché de la prévention dentaire primaire peut engendrer jusqu'à 57,50 € d'économies en soins dentaires
4, sans parler des économies réalisées au passage en réduisant la chronicité et les coûts liés aux nombreuses maladies non transmissibles (MNT) associées.

LA PRIMEPREVENTION : GAGNANT, GAGNANT !

Pour renforcer l'engagement mutuel entre nos assurés et nos partenaires assureurs, GRinsurance propose une solution unique sur le marché : la
PRIMEPREVENTION, afin de garantir à la fois des prix compétitifs pour nos assurés et un engagement fort en matière de prévention pour nos partenaires, transformant ainsi la relation " assuré - courtier - assureur " en un partenariat durable et gagnant-gagnant pour tous !

1. Plusieurs études confirment une association bidirectionnelle entre les maladies bucco-dentaires, notamment la carie dentaire et les maladies parodontales, et les maladies systémiques non transmissibles (MNT). Parmi ces MNT, on compte : différents types de cancer, le diabète sucré, les maladies cardiovasculaires, la dépression, les affections neurodégénératives, les maladies rhumatismales, les maladies inflammatoires de l'intestin, l'obésité, l'asthme etc. (liste non exhaustive). Plus d'infos : Diagramme de la santé du corps humain conçu par la FDI avec le soutien de Colgate : https://whole-body-health.fdiworlddental.org/fr/
2. Dans le secteur dentaire, la prévention primaire intervient en amont des soins conservateurs (prévention secondaire) et des soins prothétiques (prévention tertiaire). Comme l’illustre le schéma de la Cour des comptes sur
les trois catégories de prévention et leur articulation avec le parcours de soin, il est crucial de bien distinguer ces 3 niveaux préventifs, car les termes " promotion de la santé bucco-dentaire " et " prévention dentaire " sont souvent utilisés de manière interchangeable, à l’instar de " mutuelle " et " complémentaire santé ", alors qu'ils recouvrent des réalités bien différentes. Autrement dit, il ne faut pas confondre " les investissements préventifs " relevant du niveau primaire qui sont du domaine de la promotion de la santé bucco-dentaire, et " les dépenses préventives " relevant des niveaux secondaire et tertiaire qui sont du domaine des soins dentaires. En effet, la prévention primaire se concentre sur l’éducation et l’information, visant à éviter l’apparition des maladies bucco-dentaires (caries, parodontopathies) par des actions en amont, avant tout besoin de soins. La prévention secondaire intervient dès les premiers signes de la maladie (dépistage) pour stopper son évolution par des soins précoces. Enfin, la prévention tertiaire vise à limiter les complications d’une maladie déjà installée, souvent via des soins prothétiques. Ainsi, la prévention dentaire couvre un spectre allant de la simple éducation à la restauration dentaire, chaque niveau ayant ses propres objectifs, modalités d’intervention et acteurs. Pour aller plus loin : voir le dossier Prévention et promotion de la santé : de quoi parle-t-on ? édité par le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP).
3. Nouveau métier inventé par GRinsurance. À noter que
FRANCE ASSOS SANTÉ préconise, dans sa Contribution sur la stratégie nationale en santé bucco-dentaire, de : Développer l’éducation à la santé tout au long de la vie en commençant par les futurs parents et d' Envisager des nouveaux métiers afin de porter la prévention dans des actions d’aller vers les populations les plus éloignées de la santé.
4. Source DENTAL TRIBUNE :
La prévention des maladies parodontales pourrait faire économiser des milliards d'euros (cf. livre blanc effectué en 2021 par ECONOMIST INTELLIGENCE pour la Fédération européenne de parodontologie EFP). À noter que les coûts directs de traitement des caries dentaires entre 12 et 65 ans sont estimés en moyenne à 19000$ par personne en France, soit une moyenne annuelle de 345$ par assuré français, un chiffre qui peut monter jusqu'à 26000$ pour les plus démunis, soit une moyenne annuelle de 473$ pour cette catégorie de la population (cf. livre blanc effectué en 2024 par ECONOMIST IMPACT pour la Fédération européenne de parodontologie EFP).